Novembre 2021; Une ado de 14 ans met fin a sa vie car elle ne pouvait plus supporter le harcelement dont est etait la victime . Mais quand ???? allons nous nous réveillez et se rendre compte des dégats de ce fléau , encore combien de marches blanches ?? , encore combien de on savait ??? , encore combien de on a rie dit c'etait pas notre probleme ?? .
Maintenant que cette 24 ème ados qui se suicide depuis le début de l'année , maintenant c'est le problème de tous ceux qui savaient et non rien dit !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Novembre 2021 ; Après notre intervention , un simple sms de remerciement d'une ados en souffrance que l'on a pu aider . Pour nous une superbe récompense qui vient du fond du coeur
Octobre 2021 ; Une campagne contre le harcelement avec plus de 5000 Flyers distribuer dans les lieux ou les adolescents se retrouvent .
Un après-midi à l'hôpital du Scorff
avec les sourires des enfants et les étoiles dans leurs yeux.
C'est notre plus belle récompense !
Hennebont. Harcèlement : « Il faut libérer la parole »
Les motards de l’association Makadam sont intervenus au lycée Zola pour parler du harcèlement scolaire avec les élèves.
Présentez-nous Makadam et ses bikers…
Basée à Saint-Avé, notre association regroupe une trentaine d’adhérents répartis dans le Morbihan. Depuis des années, on intervient dans les collèges et les lycées, pour parler du harcèlement. Pourquoi ? Parce que, chez les motards, il y a des valeurs telles que le respect et la solidarité qui nous tiennent à cœur. Nous ne laissons jamais quelqu’un au bord de la route. Dans la vie, c’est pareil. Or, par rapport au problème du harcèlement, la majeure partie de l’entourage laisse faire. Makadam ose soulever le couvercle de la marmite. Et livre le message : Aidez la personne en souffrance.
Quelle est votre approche vis-à-vis de ces jeunes ?
Nous venons ici en tenue de motards. Ça donne une image et le courant passe mieux. Ainsi, on ne représente pas l’autorité. On est comme des grands frères. Pas là pour faire de la morale mais pour dresser un état des lieux. Nous donnons la parole aux jeunes. Et même après la rencontre, on déjeune avec eux. On prend un plateau et on se répartit entre les tables, parlant avec ceux qui n’ont pas osé s’exprimer en classe.
Votre constat ? Est-ce un phénomène répandu ?
Les cas que nous citons, ce n’est ni à Marseille ni à Paris mais bien chez nous, dans le Morbihan. Dans tous les établissements, on rencontre des cas. Et ça va jusqu’à la dimension sexuelle. Et avec les réseaux sociaux, cela poursuit le jeune encore plus cruellement.
Comment s’est déroulée la rencontre d’aujourd’hui ?
On a d’abord présenté un film L'IMPASSE qui reprend des témoignages, réalisé par des jeunes de Ploërmel. Puis, on a rencontré cette classe de troisième professionnelle. Plusieurs ont décrit des scènes qu’ils ont vécues. Très attentifs et participatifs, ils ont même surpris les enseignants présents.
Contact au 06 72 04 20 68. Makadam intervient à la demande gratuitement.
L’équipe éducative de Charles-de-Gaulle a organisé une matinée entière dédiée à la question du harcèlement scolaire. Jeudi matin, plus de 200 collégiens de 5e et 4e ont assisté, à Océanis, à la projection d’un film sur la question. Ils ont ensuite échangé avec les membres de l’association Makadam, qui regroupe des Bikers ayant en commun la passion de la moto et luttant, entre autres, contre les maltraitances faites aux enfants. La matinée a débuté par la projection du film L’impasse, réalisé par Roger Malo avec la collaboration de vingt adolescents du pays de Ploërmel. Ce film, dont le scénario s’est appuyé sur des faits réels et des témoignages de jeunes Morbihannais, a suscité, à l’issue de la projection, de nombreuses réactions et questions et même quelques expressions personnelles de victimes ou témoins. Une invitation à agir : « À l’école primaire, j’ai subi du harcèlement. Heureusement, j’ai pu compter sur mes copains et copines. Grâce à eux, ça s’est arrêté », a confié une collégienne devant l’assemblée. Pour l’association Makadam, la solution réside, avant tout, dans cette entraide et solidarité. « Face à ce genre d’actes, il faut être solidaires, s’épauler les uns, les autres et surtout ne pas laisser la loi des plus forts s’imposer. En tant que témoins ou suiveurs, il faut prendre conscience du poids que l’on représente. On peut changer la donne. Les harceleurs sont une minorité. Il faut savoir qu’à tout moment on peut devenir à son tour la cible de ces personnes. Sauver quelqu’un en parlant, ce n’est pas être une balance. Face à une situation de harcèlement, il faut agir. Les conséquences sont graves pour les victimes. Parfois des années pour se reconstruire. Certains choisissent même de mettre fin à leurs jours comme dans le film. Il y a des cas de suicide, chaque année. Parler, parler, il faut parler. À l’encadrement scolaire, dans les familles. Les grands-parents peuvent être une oreille attentive. Faites attention aux réseaux sociaux qui amplifient le phénomène. Et mettez en mémoire dans vos téléphones le N° d’appel 30 20, le numéro d’aide pour les enfants et adolescents harcelés à l’école, pour se protéger et protéger ses amis. »
Le Télégramme
Les animations se sont poursuivies par la soirée moules frites géante (plus de 400 kg de moules et autant des frites) qui a attiré une foule importante. La soirée s’est clôturée par la soirée DJ avec Jean Teck.
Samedi 4 Aout 2018, les motards de la presqu’île organisent leur dixième grand rassemblement de motos à Saint-Pierre-Quiberon. C’est toujours Roland du « Tempo » qui coordonne ce rendez-vous. L’association Makadam s’associe, cette année, en proposant des baptêmes de moto.
Article dans la rubrique "Solidarités"
du Ouest France du 07 juin 2018
Distribution mars 2018 à VANNES, LORIENT, RENNES et PONTIVY
500 unités pour mars 2018